L’avenir de nos enfants… Quelle grande interrogation dans notre vie de parent. Serons-nous capables de les accompagner, de les guider, etc? Je crois qu’il ne doit pas ou très peu y avoir de sujets sur lesquels nous doutions. Mais leur avenir, même si cela me semble loin, m’inquiète chaque jour.
J’ai la chance d’avoir eu des parents extraordinaires qui ont fait tout ce qu’il fallait pour que leurs enfants — mon grand frère adoré et moi — puissions avoir accès à des activités, des vacances et accès à des études. Nous avons pu grandir en faisant des choix éclairés et prendre nos voies en toute connaissance de cause. Mon frère et moi avons pris deux parcours très différents en terme d’études (agronomie et archéologie), mais notre plus grande chance fut que nos parents nous aient épaulés tout au long.
Mes parents m’ont fait l’immense cadeau de m’offrir mes études, et d’accepter ce projet dans lequel je m’étais lancé quand j’ai voulu faire un doctorat à l’étranger de surcroît (à Athènes, bien évidemment). Le coût des études à l’université en France est bien moins cher qu’au Québec, mais j’ai eu la chance de ne pas avoir à travailler sauf durant l’été pour me faire un petit coussin financier. Et je leur dis merci, encore aujourd’hui, six ans plus tard.
Épargner à petits pas avec le REEE RBC
Quand j’y pense, c’est un cadeau inestimable que de ne pas avoir eu à me soucier de payer mes factures durant mes études, et donc de devoir travailler en même temps. Alors, oui, aujourd’hui, je veux pouvoir offrir ce même cadeau à ma fille. Quelle que soit la voie qu’elle choisira, même si c’est plomberie, clown ou médecine, je veux pouvoir lui offrir la chance d’étudier dans les meilleures conditions possibles.
Elle a beau avoir seulement 3 ans, je pense déjà à son avenir et j’ai commencé à me renseigner sur les choix de REEE — régime enregistré d’épargne-études. Ces placements permettent avec de modiques sommes hebdomadaires de faire fructifier ces placements : avec 25 $ seulement par semaine (ou 3,50 $ par jour soit le prix d’un latte), ma fille pourrait avoir à 18 ans l’équivalent de 50 000 $ dans un fonds pour ses études.
Et parce que non seulement les REEE (et aussi les REEE RBC) affichent des rendements moyens de 6 %, vous bénéficiez également de contribution du fédéral et du Québec pour bonifier vos placements. La RBC offre en plus des solutions modulables et flexibles d’épargne, ce qui est à considérer fortement.
Le REEE : épargnez dans un cadeau zéro déchet
Enfin, avoir un REEE, c’est aussi une idée pratique de cadeau de fête pour vos petits bouts. Vous pouvez demander à ceux qui ne savent pas quoi offrir de faire une cagnotte à sa fête qui pourra ensuite être versée sur son REEE (le prix de 2 latte par exemple!). Et hop, en plus, c’est zéro déchet!
Je vous invite à consulter le guide Offrir le cadeau du savoir de la RBC ou à contacter un conseiller pour en savoir davantage.
Cet article est présenté et sponsorisé par la RBC, les opinions et les écrits sont uniquement les miens et ne reflètent pas la RBC.
« Ces placements permettent avec de modiques sommes hebdomadaires de faire fructifier ces placements : avec 25 $ seulement par semaine »
Wahou, je ne trouve pas du tout que c’est une somme modique !!!
C’est un sacré budget mensuel. Je trouve ça triste, quelque part, de devoir épargner dès 3 ans pour pouvoir avoir la chance de faire des études supérieures. 🙁
Mais c’est sûr qu’il vaut mieux le faire si on le peut, ainsi, Elo aura la chance de pouvoir suivre son chemin !
Oui, tu as raison, ce n’est pas si modique, mais dans notre cas, à deux, cela est plus facile. Et oui tu as raison de souligner sur le fait d’épargner tôt pour pouvoir payer ses études, sauf que je le savais en faisant un enfant en Amérique du Nord. Si elle n’a pas ces économies, et bien elle pourrait avoir accès aux prêts et bourses, mais est-ce que je veux vraiment lui imposer une dette d’études? Et tant que je peux économiser, je préfère le faire pour que ma fille puisse faire ses études. Si certains copains en France avaient eu un pécule équivalent, même moindre, je sais que cela les aurait considérablement aidés. Parce que quand on a un enfant, on sait que les étude seront un gros bout, alors pourquoi pas essayer d’y contribuer un peu? Il n’y a pas de solution miracle, mais on épargne bien pour s’acheter une voiture, voyager, une maison ou sa retraite, je me dis que j’investis dans son avenir, non?
Ah mais bien sûr ! Épargner pour la culture, les études, c’est à mon avis la meilleure façon de « dépenser » son argent 😉
Une dette d’études, c’est tragique, pour moi. J’ai une amie américaine qui, à 33 ans et 10 ans de travail vient tout juste de solder sa dette d’études (et encore, elle a eu de la « chance » car a des revenus considérables depuis quelques années). Comme elle me le dit, sa vie vient enfin de commencer…
C’est clair, la dette d’études, c’est ce que je veux éviter à Éloïse autant que possible.
Bonjour
J’imagine que des placements similaires existent en France, je vais regarder car sur le principe j’adhère totalement.
Par contre, il existe quelques alternative ici qui sont assez intéressantes. Des systèmes qui reverse des cents sur un compte épargne pendant vos achats …
Il doit bien y avoir des placements identiques. Ici, c’est sûr que c’est plus développé car le coût des études est bien plus élevé que dans les universités françaises. En faisant une recherche rapide, j’ai trouvé cet article.
http://patrimoine.lesechos.fr/patrimoine/placement/0204211784337-financer-les-etudes-de-ses-enfants-1101559.php